NOTES

 

Hugo a lu trop vite les notes de François-Victor Hugo à sa traduction du Roi Jean (tome III Les Tyrans, p. 454 et suiv.). Une première donne le nom de Rowley, l'un des auteurs, avec Greene et Peele, à qui la critique anglaise a attribué un Roi Jean imprimé en 1591 dont Shakespeare se serait inspiré. Mais les analogies entre les deux textes sont si nombreuses et telles que François-Victor Hugo, après Tieck et Schlegel, juge qu'ils ont nécessairement le même auteur, Shakespeare donc.

Une autre note cite le texte de 1591 non pour « le caractère du bâtard Faulconbridge » mais pour la manière dont l'un des deux fils Faulconbridge, Philippe, répond à la question de sa naissance.